[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] alec isaia summers

Salut moi c'est Alec Isaia Summers mais appelle-moi Alecouille. J'ai bientôt 23 ans ans parce que je suis né le 15 avril 1990 à Londres, je suis d'origine anglaise par mon père et italienne par ma mère et je suis aujourd'hui italien. Sinon je suis mannequin mais comme je ne gagne pas assez, je suis obligé de vendre mon corps, c'est pour ça que j'appartiens aux sexuality. D'ailleurs je suis hétérosexuel, mais célibataire ça doit être parce que je ressemble beaucoup trop à Francisco Lachowski !

how are you ?

Je fais partie de ces gens qui peuvent se regarder dans une glace ou se faire prendre en photo sans se plaindre de ne ressembler à rien. Jamais je ne me plains de mon apparence. Pas que je sois imbu de moi-même iu quoi que ce soit, mais je me sens bien dans ma peau et je ne veux rien changer. UC

who are you ?

Je ne suis pas quelqu'un d'exceptionnel, j'ai les mêmes peurs, les mêmes désirs que les autres. Ma vie est rythmée par mes histoires de coeur, mes notes, la quantité d'alcool que je boirais le soir suivant, les aprems jeux videos avec mes potes ... Je n'ai pas la prétention de me prétendre populaire, de vouloir être l'ami de gens connus. Non je me moque totalement de leur superficialité, leurs grosses voitures, leur maquillage et je ne sais quoi d'autre. Tout ce que je veux c'est qu'on me laisse tranquille, qu'on me laisse vivre ma vie comme je l'entends. La vie n'est qu'un jeu à mes yeux, je n'essaye pas de m'assurer un avenir brillant, de me trouver une femme pour avoir des enfants. Je ne prends personne au sérieux, je ne considère personne comme supérieur ou inférieur. Vous voyez ? Je suis une personne banale qui vit une vie banale. Ma seule véritable qualité, c'est mon intelligence. Je me montre peut-être narcissique en disant ça, mais j'ai toujours eu d'excellentes notes. Si seulement j'allais en cours plus souvent, peut-être que mes professeurs l'auraient su aussi. Enfin j'aime bien les commentaires sur les bulletins : "touriste" est le mot qui revient le plus souvent. Amusant, n'est-ce pas ? Je me lie facilement aux autres, parce que j'accepte tout le monde. La seule chose que je n'aime pas chez quelqu'un, c'est la dépression. J'essaye d'aider, de rendre le sourire, mais quand je vois que ça ne marche pas, j'abandonne. Chacun ses problèmes : de toute façon on naît et on crève seul. Pourquoi se prendre la tête dans la vie puisque de toute façon on est voués à mourir ? Amusez-vous, fête le fête, obéissez à vos propres lois. En parlant de loi, je ne supporte pas qu'on me donne des ordres. La hiérarchie me donne des envies de meurtre. Je n'obéis que rarement, quand j'en vois l’intérêt. Comme je l'ai dit précédemment, j'attire facilement les autres. C'est peut-être mon côté bad-boy, ou peut-être parce que je suis terriblement sexy. Ou peut-être tout simplement que je fais rire, je n'en sais rien. J'adore rencontrer des gens, tant qu'ils ne m'énervent pas. Par exemple, je ne supporte pas les personnes qui se vantent sérieusement, les personnes dépressives ou celles qui donnent des ordres, se prennent au sérieux. Je pars du principe qu'il faut profiter de la vie, qu'il faut rencontrer des tas de gens différents pour avoir une existence intéressante et bien remplie ... Je pense être un bon ami, je ne trahis jamais les secrets et on peut s'appuyer sur moi. Cependant les filles ont plus de souci à se faire, car je m'attacher difficilement, et quand il faut jeter ... Je jette. De toute façon, la plupart des filles qui apprennent que je me prostituent finissent par me jeter elles-mêmes. Je suis actuellement célibataire, j'ai quitté une fille y a environ une semaine. Ça faisait quand même près d'un mois qu'on était ensemble, gros record pour moi ! A ce rythme là je me suis demandé si c'était pas la femme de ma vie, et quand elle a décidé qu'on se connaissait assez pour se montrer sous son vrai visage, j'ai pris peur. En effet elle a arrêté de se raser, se trimballait chez elle ou chez moi avec d'horribles vêtements, se coiffait à peine ... Non, ça c'était pas possible. La goutte d'eau qui a fait déborder le vase, c'était certainement quand j'ai retrouvé des poils sur le savon. Pour l'instant je n'arrive pas à avoir de relations sérieuses, je suis certainement trop exigeant. Mais tant que je n'aurais pas trouvé la femme parfaite, je continuerai de prendre et de jeter. Mon plus grand rêve serait ... De ne pas avoir à penser à demain. Avoir l'esprit tranquille, qu'on ne me répète pas sans cesse que je suis un bon à rien qui va rater sa vie. J'aimerais prendre du bon temps, m'amuser, mener l'existence dont j'ai envie et pas celle que l'on m'impose de mener. Ah et puis si dans cette vie utopique il pouvait y avoir sushis à volonté, ça ne me déplairais pas. J'aimerais mourir en mangeant des sushis.

IRL moi c'est Justine/Alaska, j'ai bientôt 18 ans et je viens de Montélimar. Je suis tombée sur le forum via facebook et pour un premier avis je dirais qu'il est joli et le contexte plaisant, c'est d'ailleurs pour ces raisons que je vous ai rejoins ! Au fait le code du règlement est : OK by Aless', je l'ai trouvé facilement parce que je suis trop forte ! Avant que vous m'validiez j'aimerais vous dire à tous : je veux des liens avec tout le monde !

Code:

FRANCISCO LACHOWSKI [color=red][b]•[/b][/color] alec i. summers

code by eylika (c)

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tell me your story

Mes parents m'ont obligé à aller voir un psy. Vous vous rendez compte de la honte que je suis en train de subir ? Assis dans la salle d'attente, j'attends qu'on appelle mon nom. Dix fois, vingt fois, cinquante fois, j'hésite à me lever et m'enfuir. Mais là ce n'est pas chez le psy qu'ils m'enverront, c'est à l'hôpital psychiatrique. Oh rassurez-vous je ne suis pas fou, loin de là. Immature et inconscient sont des mots qui me correspondent mieux : je ne prends jamais la tête et je n'obéis à personne. Je vais en cours quand ça me chante, je trompe les filles, je bois, je fume, je m'amuse. Mais il parait que c'est mal. En quoi est-ce que c'est mal ? Je n'en ai aucune idée, et c'est bien pour cela que je suis là aujourd'hui. Pour qu'on m'explique pourquoi je suis un "attardé mental" qui préfère vivre plutôt que se forcer à mener l'existence qu'on lui a imposé. Quand enfin on appelle mon nom, je ne me lève pas et je fais l'air de rien, comme si ce n'était pas moi. Quand je pense avoir réussi mon coup, je remarque que je suis seul dans la salle d'attente et que ça ne peut être que moi, Alec Summers. Je soupire, je me lève, tend la main, suit la femme dans son bureau. Elle a de jolies jambes, le rendez-vous en valait peut-être la peine.

Elle me demande de raconter ma vie, je réponds que j'ai la flemme. Quand elle me demande pourquoi j'ai la flemme, je réponds que je n'en ai aucune idée. Alors elle commence une théorie sur le refus de s'exprimer et je l'arrête bien vite, car encore plus que de raconter mon histoire, j'ai la flemme d'écouter ses raisonnements vaseux de femme un peu trop coincée. Je commence par mon enfance et ma naissance, à Londres. Ma mère était femme au foyer et mon père pompier, ma famille ne roulait pas vraiment sur l'or. Alors nous avons déménagé pour un petit appartement miteux. Et comme si cela ne suffisait pas, mon père a eu un accident de travail et a été amputé. C'était vraiment moche à voir, je me souviens que je me mettais toujours à pleurer quand je regardais sa jambe. Il est tombé dans la dépression, s'est mis à boire et à nous taper dessus. Ma mère elle, a trouvé un travail dans un supermarché pour qu'on arrive à manger. On a souvent mis sur le compte de ma naissance tout nos problèmes, mais je ne me suis jamais senti coupable. Pourquoi ? Ils n'avaient qu'à se protéger ce jour là. J'y peux rien si j'étais indésirable ! Ils m'ont donné pour deuxième prénom le nom Isaia, qui était le prénom du père de ma mère. Celui là je ne l'ai jamais vu parce qu'il habite à Palerme en Italie, mais il parait qu'il a de l'argent. Je ne sais pas, je n'en ai rien à faire.

Depuis tout petit j'ai donc toujours eu une certaine liberté, et au moindre problème je me faisais tabasser mais ça ne m'empêchait pas de continuer. Quand je voyais la situation financière et sentimentale de mes parents, je n'avais qu'une envie : fuir. Fuir ce monde qui était le mien. Alors j'ai commencé à déconner sévère : j'ai bu mon premier verre d'alcool à treize ans, j'ai fumé ma première cigarette à 14 ans et couché avec une fille cette même année. A quand la drogue direz-vous ? Ça ne m'intéresse pas, je connais mes limites et je ne veux pas les franchir. Et malgré ce choix de vie, j'arrivais à rester un excellent élève, quand je daignais aller à l'école. Je faisais parfois un effort, car c'était là-bas que je me faisais des amis et que je rencontrais des filles. J'avais conscience que ma vie était pathétique ainsi, mais je n'arrivais plus à vivre autrement. C'était ma façon à moi de me protéger de la réalité, d'une famille d'ivrognes et de dépressifs dont j'étais le bâtard indésirable, ma façon d'oublier qu'à cause du manque d'argent, je pourrais très bien finir dans un super marché comme ma mère. Ainsi, j'avais également l'impression d'être un garçon comme les autres. Lorsqu'à la fin du collège tout le monde a hâte d'intégrer les lycées les plus prestigieux, qu'on parle déjà de la voiture qu'on va conduire, c'est difficile à vivre pour quelqu'un qui doit attendre de savoir si il aura droit aux bourses ou non.

Ma vie n'a en rien changé depuis. L'évènement le plus marquant de ma vie, c'est sans doute le jour où j'ai failli mourir, assassiné par un arbre. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, j'ai trouvé un équipement de parapente dans les affaires de mon père, je suis monté en haut d'une falaise et j'ai sauté. Le grand frisson vous comprenez, celui où l'on a l'impression d'être immortel. Bon bien sur je ne savais pas m'en servir de l'équipement, et j'ai foncé droit dans un arbre une centaine de mètres plus bas. Mes parents ont pris ça pour une tentative de suicide. J'ai eu beau leur expliquer que je n'avais pas besoin de tout ça pour mettre fin à mes jours, ça n'a servi à rien. Franchement, une boite de médicaments aurait suffit ! Quand on connait mon flegme légendaire en plus ... Et voilà que j’atterris ici, et que je regarde autour de moi sans écouter la blonde qui me sert de psy. Était-elle populaire pendant ces années au lycée ? Je lui coupe la parole et lui demande. La réponse est oui et j'ai réussi, elle est agacée. Je sors du bureau d'un pas triomphant, la dame de l'accueil me demande la façon dont je vais régler la consultation. Je lui demande de contacter mon agent. Quel agent ? Je paye, débité de verser les pauvres dollars difficilement gagnés au cours de ma courte existence. Puis je sors. La vie ne fait que commencer.

UC

Merci Louise, je te retourne le compliment ! Dobrev est so hot

Quel accueil
Merci beaucoup, pas de souci ! De toute façon j'ai bientôt fini ma fiche !
&& pour le lien avec GRAAAAAAAAAAAAND plaisir, je peux pas refuser ça, j'adore Ariana Grande (aa)

Aucun souci Louise, on trouvera un lien de fou
Merci Talya, Benson est trop sexy aussi